mardi 18 décembre 2007
Boumalne, La vallée du Dadès
A l’est de Ouarzazate, s’étend la vallée du Dadès (surnommée « vallée aux mille kasbahs »), qui serpente entre les montagnes du Haut Atlas, au nord, et les chaînes du djebel Sarho, au sud, offrant un paysage aride et désertique, d’où émerge soudain la somptueuse palmeraie de Skoura (à 42 km de Ouarzazate).
Fondée au XII ème siècle par Yacoub el Mansour, sous la dynastie des Almohades, la palmeraie tire son nom de la tribu berbère qui y vivait à cette époque, les Haskourene (plusieurs populations se sont succédées depuis, dont des tribus arabes originaires du Tafilalt) – riche en cultures variées : grenadiers, amandiers, abricotiers, figuiers, et…rosiers, cultivés pour la production de la fameuse eau de rose (chaque année, se déroule en mai, dans la « vallée des Roses », la Fête des Roses,
prétexte
à de nombreuses manifestations folkloriques)
mercredi 5 décembre 2007
La vallée du Drâa
La Vallée du Drâa commence réellement à 70 km au sud de Ouarzazate, après d’abrupts canyons et de grands espaces silencieux.
Irriguée par l’oued Drâa, la féerique vallée s’étend sur près de 200 km de long, présentant un ruban continu de verdure. Les champs cultivés et les palmeraies se succèdent, jalonnées d’une cinquantaine de kasbahs et de ksours (réunion de plusieurs kasbahs ou de maisons) bâtis en pisé : pour tenter d’échapper aux razzias des nomades du désert, les sédentaires de la vallée se sont regroupés dans des ‘ksour’ protégés par de hautes murailles flanquées de tours de guet.
De la région d’Agdz
jusqu’à Mhamid, le Drâa nourrit une étroite oasis presque ininterrompue. « Sur ses rives, le fond de la vallée est un jardin enchanteur : figuiers, grenadiers s’y pressent ; ils confondent leurs feuillages et répandent sur le sol une ombre épaisse ; au-dessus se balancent les hauts panaches des dattiers. Sous ce dôme, c’est un seul tapis de verdure : pas une place nue, la terre n’est que culture, que semis ; elle est divisée avec un ordre minutieux en une infinité de parcelles, chacune close de murs de pisé ; une foule de canaux la sillonnent, apportant l’eau et la fraîcheur ». Ecrites il y a plus d’un siècle par Charles de Foucauld, ces lignes ont conservé toute leur valeur.
Irriguée par l’oued Drâa, la féerique vallée s’étend sur près de 200 km de long, présentant un ruban continu de verdure. Les champs cultivés et les palmeraies se succèdent, jalonnées d’une cinquantaine de kasbahs et de ksours (réunion de plusieurs kasbahs ou de maisons) bâtis en pisé : pour tenter d’échapper aux razzias des nomades du désert, les sédentaires de la vallée se sont regroupés dans des ‘ksour’ protégés par de hautes murailles flanquées de tours de guet.
De la région d’Agdz
jusqu’à Mhamid, le Drâa nourrit une étroite oasis presque ininterrompue. « Sur ses rives, le fond de la vallée est un jardin enchanteur : figuiers, grenadiers s’y pressent ; ils confondent leurs feuillages et répandent sur le sol une ombre épaisse ; au-dessus se balancent les hauts panaches des dattiers. Sous ce dôme, c’est un seul tapis de verdure : pas une place nue, la terre n’est que culture, que semis ; elle est divisée avec un ordre minutieux en une infinité de parcelles, chacune close de murs de pisé ; une foule de canaux la sillonnent, apportant l’eau et la fraîcheur ». Ecrites il y a plus d’un siècle par Charles de Foucauld, ces lignes ont conservé toute leur valeur.
jeudi 29 novembre 2007
Tiznit, histoire de la ville
La fondation de Tiznit remonte à 1882 après l’expédition militaire du sultan Hassan I dans la région du Sous.
Le besoin de créer Tiznit fut dicté par la volonté de planter un poste militaire afin de contrôler l’arrière pays, et de parer à toute pénétration européenne depuis l’atlantique.
Comme tous les grands ouvrages défensifs du Maroc, l’enceinte de Tiznit fut élevée selon le modèle des fortifications des villes marocaines.
L’intérieur de la ville offre l’aspect d’un tissu traditionnel répartie selon des quartiers. Les maisons sont aussi de type traditionnel et rappellent, pour certaines
demeures, les grands riads de Marrakech. Parmi les monuments qui caractérisent la ville de Tiznit on trouve le palais du Khalifa (Qasr el khalifi) qui abritait le représentant du Sultan, la place du Méchoir et la grande mosquée.
jeudi 15 novembre 2007
Oukaïmeden , la vallée aux villages
C'est une balade agréable, accessible à tout marcheur quelque soit son niveau.
Les villages typiques : Gliz, Agadir, Tidli, Tinoughar, leurs habitants, l'économie agricole basée sur un système millénaire d'irrigation et de terrasses d'une grande ingéniosité, une forêt de génévriers thurifères "Le bois des fiancés", tout est là pour donner aux randonneurs un bon aperçu de la montagne marocaine et de ses spécificités.
Au départ de l’Oukaïmeden, monter vers le col de l'ancienne parabole, puis piquer par le chemin muletier vers la vallée et les villages. Le retour par le
même chemin.
Les villages typiques : Gliz, Agadir, Tidli, Tinoughar, leurs habitants, l'économie agricole basée sur un système millénaire d'irrigation et de terrasses d'une grande ingéniosité, une forêt de génévriers thurifères "Le bois des fiancés", tout est là pour donner aux randonneurs un bon aperçu de la montagne marocaine et de ses spécificités.
Au départ de l’Oukaïmeden, monter vers le col de l'ancienne parabole, puis piquer par le chemin muletier vers la vallée et les villages. Le retour par le
même chemin.
vendredi 26 octobre 2007
Moussem des fiançailles des Ait Haddidou
Les vendredi, samedi et dimanche de la deuxième ou troisième semaine de septembre, des milliers de pèlerins se retrouvent à Imilchil, sur un haut plateau à 2000 mètres d’altitude, entre le haut et le moyen Atlas, sur les terres des berbères Ait Haddidou, à l’occasion de la fête du saint de cette tribu.
Pour les marocains, ce voyage constitue un pèlerinage. Cette fête sert également de foire aux fiançailles. Les jeunes Ait Haddidou profitent de cette manifestation pour choisir un ou une partenaire. L’hébergement se fait sous des tentes de nomades. A côté des jeunes filles que les parents cherchent à marier, se trouvent également de nombreuses candidates adultes. Comme ces dernières jouissent d’une position forte au sein de la tribu, elles peuvent se choisir elles même un mari. Les mariages
multiples ne sont pas rares ici.
Arrivée par Rich ou Kasbah Tadla- El Ksiba. Des agences de voyage de Casablanca organisent des excursions au moussem.
Pour les marocains, ce voyage constitue un pèlerinage. Cette fête sert également de foire aux fiançailles. Les jeunes Ait Haddidou profitent de cette manifestation pour choisir un ou une partenaire. L’hébergement se fait sous des tentes de nomades. A côté des jeunes filles que les parents cherchent à marier, se trouvent également de nombreuses candidates adultes. Comme ces dernières jouissent d’une position forte au sein de la tribu, elles peuvent se choisir elles même un mari. Les mariages
multiples ne sont pas rares ici.
Arrivée par Rich ou Kasbah Tadla- El Ksiba. Des agences de voyage de Casablanca organisent des excursions au moussem.
vendredi 28 septembre 2007
Larache, le jardin des Hespérides
Selon les Anciens, c’est près de Larache, dans la vallée du Loukos, que se situait ce fameux jardin des Hespérides.
Filles d’Atlas et d’Hespéris, la déesse de l’Occident. Là se trouvait l’arbre fantastique chargé de pommes d’or, ces fruits merveilleux dont réussit à s’emparer Hercule après avoir vaincu leur gardien, un terrifiant dragon…
Filles d’Atlas et d’Hespéris, la déesse de l’Occident. Là se trouvait l’arbre fantastique chargé de pommes d’or, ces fruits merveilleux dont réussit à s’emparer Hercule après avoir vaincu leur gardien, un terrifiant dragon…
Marrakech, le Musée Dar Si Said
Construit à la fin du XIX ème siècle par Si Saïd B. Moussa qui exerçait la fonction de ministre de la guerre pour en faire son palais…
Après sa mort en 1900 Dar Si Said connu plusieurs affectations, en 1914, le protectorat français en a fait même le siège des chefs successifs de la région de Marrakech,
En 1932, Dar Si Said est transformé en musée des Beaux Arts, où tout les les artisanats de Marrakech et du Sud marocain (du Tensift, du Sous, du Haut Atlas, de l'Anti Atlas, du Bani, du Tafilalet ) s’y trouve représenté.
L'essentiel des collections proposent des ensembles homogènes de boiseries, portes traditionnelles de
maisons et casbahs de l’Atlas, de bijoux, de poterie et céramiques, d'armes, de tapis et tissages et quelques pièces archéologiques dont la cuve en marbre du début du XIème siècle.
Après sa mort en 1900 Dar Si Said connu plusieurs affectations, en 1914, le protectorat français en a fait même le siège des chefs successifs de la région de Marrakech,
En 1932, Dar Si Said est transformé en musée des Beaux Arts, où tout les les artisanats de Marrakech et du Sud marocain (du Tensift, du Sous, du Haut Atlas, de l'Anti Atlas, du Bani, du Tafilalet ) s’y trouve représenté.
L'essentiel des collections proposent des ensembles homogènes de boiseries, portes traditionnelles de
maisons et casbahs de l’Atlas, de bijoux, de poterie et céramiques, d'armes, de tapis et tissages et quelques pièces archéologiques dont la cuve en marbre du début du XIème siècle.
jeudi 6 septembre 2007
Taroudant, histoire de la ville
Bien que connu Taroudant depuis le Haut Moyen Age, Taroudant ne va acquérir tout son importance qu’avec les dynasties almoravides et almohades qui vont en faire une base militaire pour le contrôl de la région du Sous, assurant par la même le commerce caravanier en provenance du sahara.
Taroudant doit surtout son éclat et son développement à la dynastie saadienne. Et c’est le souverain Mohamed al cheikh qui procéda à la rénovation de la capitale déchue et fit ériger la grande mosquée, la medersa et la Kasbah sultanienne et entrepris construction de l’enceinte. Suite à ces travaux la ville prit le nom de son rénovateur "al-Mohammadia".
Le rôle commercial de Taroudant fut à cette époque très important puisqu’elle constituait une étape incontournable dans le commerce qui
reliait le Maroc au Soudan. C'est par le Sous que passaient les produits sahariens acheminés vers Agadir et ensuite vers l'Europe.
Sur le plan militaire, la ville constitua pour les Saadiens un quartier général pour la lutte contre la présence portugaise sur le littoral atlantique marocain.
La prospérité de Taroudant se maintiendra tout au long du XVI ème siècle. Après les Saadiens et en l’absence d’une autorité centrale puissante, la ville allait se soustraire au pouvoir mais finira par passer sous l'égide du sultan alaouite Moulay Rachid en 1669-1670., puis celui du sultan Moulay Ismaïl en 1687.
Taroudant doit surtout son éclat et son développement à la dynastie saadienne. Et c’est le souverain Mohamed al cheikh qui procéda à la rénovation de la capitale déchue et fit ériger la grande mosquée, la medersa et la Kasbah sultanienne et entrepris construction de l’enceinte. Suite à ces travaux la ville prit le nom de son rénovateur "al-Mohammadia".
Le rôle commercial de Taroudant fut à cette époque très important puisqu’elle constituait une étape incontournable dans le commerce qui
reliait le Maroc au Soudan. C'est par le Sous que passaient les produits sahariens acheminés vers Agadir et ensuite vers l'Europe.
Sur le plan militaire, la ville constitua pour les Saadiens un quartier général pour la lutte contre la présence portugaise sur le littoral atlantique marocain.
La prospérité de Taroudant se maintiendra tout au long du XVI ème siècle. Après les Saadiens et en l’absence d’une autorité centrale puissante, la ville allait se soustraire au pouvoir mais finira par passer sous l'égide du sultan alaouite Moulay Rachid en 1669-1670., puis celui du sultan Moulay Ismaïl en 1687.
mercredi 5 septembre 2007
Zagora
Tout comme Ouarzazate, Zagora, a été crée sous le Protectorat français comme centre administratif - fut également le berceau des Saadiens, qui entreprirent la conquête du Maroc au XVI ème siècle. « Tombouctou, 52 jours de chameau » : toute la mythologie et la fascination du désert sur ce célèbre panneau…il signe la vocation ancienne de Zagora, dernière étape de la route caravanière. Pour ceux qui rêvent de la grande aventure saharienne, les environs de Zagora permettent d’effectuer quelques excursions courtes –les premières dunes sont à 26 km – ou beaucoup plu longues, vers Mhamid notamment.
A voir : le Djebel Zagora, qui offre un panorama sur le désert et la palmeraie très intéressant – excursion à faire au lever ou au coucher du soleil de préférence (avec un 4x4, on peut accéder jusqu’à la moitié du parcours, ensuite il faut poursuivre à pied)
lundi 2 juillet 2007
Tinerhir
Une des plus belles palmeraies du Maroc!!
Ancien poste militaire, couronné d’une puissante kasbah, construit sur un piton rocheux (à 1 342 m d’altitude) et dominant une magnifique palmeraie (un vrai jardin d’Eden où vous pouvez flâner pendant des heures) -
point de départ idéal pour les excursions dans les Gorges du Todra, les plus belles du Sud Marocain, réseau de défilés encaissés dont les parois rectilignes s’élèvent à une hauteur de 300 m, dans une gamme de rouges étonnante.
jeudi 21 juin 2007
Chefchaouen ou Chaouen
A Chefchaouen, nul monument extraordinaire. Cette ville est depuis l'arrivée massive des arabes et des juifs chassés d’Espagne en 1492, une ville simple et très agréable à visiter.
La ville de Chefchaouen tire son nom du mot berbère «CHEFCHAOUEN» qui signifie «Cornes» en raison des sommets montagneux qui dominent la cité. Elle a été édifiée en l'an 876 de l'hégire (1471) par Moulay Ali Ben Rachid.
Une fois sur place, laisser vous bercer par le charme envoûtant de cette petite ville bleu. Prenez la direction de la grande mosquée, une construction octogonale place Uta El Hamman,
Commencez par boire un bon thé à la menthe à une terrasse de café, observez ce va et vient nonchalant. Tout à Chefchaouen est fait de douceur et de simplicité.
A partir de cette place, oubliez tout et laissez vous guider par le long cheminement des couleurs, les ruelles sont pavées de galets polis par les babouches, les facades des maisons sont de couleurs blanches, azurs, mauves, les portes et volets sont peints en bleus, ces couleurs éblouissantes étaient censée éloigner les insectes. Des patios fleuris témoignent d'une occupation espagnole.
Avec ses maisons en tuiles ocre, ses grilles de fer forgées, la lumière, qui se reflète sur les facades vous compose à chaque minute un tableau de Delacroix.
La ville de Chefchaouen tire son nom du mot berbère «CHEFCHAOUEN» qui signifie «Cornes» en raison des sommets montagneux qui dominent la cité. Elle a été édifiée en l'an 876 de l'hégire (1471) par Moulay Ali Ben Rachid.
Une fois sur place, laisser vous bercer par le charme envoûtant de cette petite ville bleu. Prenez la direction de la grande mosquée, une construction octogonale place Uta El Hamman,
Commencez par boire un bon thé à la menthe à une terrasse de café, observez ce va et vient nonchalant. Tout à Chefchaouen est fait de douceur et de simplicité.
A partir de cette place, oubliez tout et laissez vous guider par le long cheminement des couleurs, les ruelles sont pavées de galets polis par les babouches, les facades des maisons sont de couleurs blanches, azurs, mauves, les portes et volets sont peints en bleus, ces couleurs éblouissantes étaient censée éloigner les insectes. Des patios fleuris témoignent d'une occupation espagnole.
Avec ses maisons en tuiles ocre, ses grilles de fer forgées, la lumière, qui se reflète sur les facades vous compose à chaque minute un tableau de Delacroix.
vendredi 15 juin 2007
Ouarzazate, la Kasbah de Taourirt
La Kasbah de Taourirt : par son importance, son architecture et sa décoration, c’est l’une des plus belles du Maroc (classée monument historique). Elle fut, la plus grande résidence du Glaoui, le pacha de Marrakech.
Ses bâtiments en pisé flanqués de tours crénelées, s’étagent sur des plans superposés, sur fond de murailles crépies de rose et creusées de dessins géométriques.
On peut visiter quelques pièces des anciens appartements du Glaoui, dont la salle à manger et la chambre de la favorite (…), qui ont gardé leur décoration de stuc peint et leurs plafonds en bois de cèdre.
De la terrasse, vue remarquable sur le village fortifié berbère de Taourirt (antérieur à la ville de Ouarzazate, datant du XIIIème
siècle), la vallée et ses oasis, et les montagnes cernant l’horizon.
Ses bâtiments en pisé flanqués de tours crénelées, s’étagent sur des plans superposés, sur fond de murailles crépies de rose et creusées de dessins géométriques.
On peut visiter quelques pièces des anciens appartements du Glaoui, dont la salle à manger et la chambre de la favorite (…), qui ont gardé leur décoration de stuc peint et leurs plafonds en bois de cèdre.
De la terrasse, vue remarquable sur le village fortifié berbère de Taourirt (antérieur à la ville de Ouarzazate, datant du XIIIème
siècle), la vallée et ses oasis, et les montagnes cernant l’horizon.
lundi 21 mai 2007
Ouarzazate, histoire de la ville
TERREMAROC
Où dormir à Ouarzazate ?
Construite en 1928 par les français, cette ville de garnison (60 000 habitants) est devenue la capitale administrative de la région du Drâa. Située sur un plateau à 1 160 m d’altitude, au confluent de l’oued Drâa et de l’oued Dadès, dont les vallées sont exceptionnelles. Avec ses maisons de crépi ocre et sa rue centrale démesurément large, la ville peut décevoir, mais son atmosphère particulière annonce déjà le Sahara.
Son exceptionnelle situation géographique lui confèrent le statut de ville d’étape : c’est le point de départ de d’excursions vers la vallée du Dadès à l’Est, la route des Oasis au Sud et vers les montagnes de l’Anti-Atlas. Ouarzazate, c’est avant tout cela : une porte ouvrant sur le rêve de l’aventure inouïe du désert !
mardi 15 mai 2007
Ouarzazate, les studios de cinéma
Où dormir à Ouarzazate?
Ouarzazate est devenue le centre cinématographique du Maroc.
De nombreuses productions à la renommée internationale ont été tournées dans cette région : ‘Lawrence d’Arabie’, ‘Gladiateur’, ‘Un thé au Sahara’, ‘L’Homme qui voulut être roi’, ‘La dernière tentation du Christ’, ‘Astérix’, ‘Kundun, et plus récemment ‘Alexandre le Grand’, etc. La plupart des films sont réalisés dans les "Atlas Studios" Si vous arrivez de Marrakech, vous ne pourrez les manquer, les 2 grands studios sont situés sur votre droite, juste à l'entrée de Ouarzazate.
Ouarzazate est devenue le centre cinématographique du Maroc.
De nombreuses productions à la renommée internationale ont été tournées dans cette région : ‘Lawrence d’Arabie’, ‘Gladiateur’, ‘Un thé au Sahara’, ‘L’Homme qui voulut être roi’, ‘La dernière tentation du Christ’, ‘Astérix’, ‘Kundun, et plus récemment ‘Alexandre le Grand’, etc. La plupart des films sont réalisés dans les "Atlas Studios" Si vous arrivez de Marrakech, vous ne pourrez les manquer, les 2 grands studios sont situés sur votre droite, juste à l'entrée de Ouarzazate.
jeudi 10 mai 2007
Maisons d'hôtes avec Piscine à Ouarzazate
Dar Daïf ''maison de l'invité'' Vous marchez en babouches sur des dizaines de tapis anciens et colorés. Salons, recoins douillets, terrasses, jardins, piscine, hamam. Quel plaisir de séjourner dans cette kasba, au calme, avec l'Atlas en toile de fond!
TerreMaroc.com Maisons d'hôtes avec Piscine à Ouarzazate
Maison d'hôtes de luxe avec chambres climatisées, Cuisine raffinée, piscine. idéale pour vos vacances.
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